10 jours sans maman : découvrez l’interview Chérie FM Cinéma de l’équipe du film !

Le - modifié le - Par .

Pour la sortie du film «10 jours sans maman» au cinéma ce mercredi 19 janvier 2020, Marc Choquet s’est entretenu avec Franck Dubosc, Aure Atika et les jeunes comédiens au casting. Au micro de Chérie FM, l’équipe explique comment ils ont travaillé leurs rôles respectifs.

Aujourd’hui sort en salles «10 jours sans maman», la nouvelle comédie de Ludovic Bernard avec Aure Atika, Franck Dubosc et Alice David. Cette comédie familiale nous entraine dans le quotidien d’Antoine (Franck Dubosc), DRH d'une grande enseigne de bricolage, en passe de devenir le numéro 1 de sa boîte. C'est le moment que choisit sa femme, Isabelle (Aure Atika), pour faire une pause et prendre l'air quelques jours pour s'occuper d'elle. Antoine se retrouve alors seul à devoir gérer la maison et leur quatre enfants. Il est vite dépassé par les événements ! 10 jours sans maman qui risquent bien de faire capoter sa nomination.

Aure Atika : «Oui, c’est un film qui défend la cause des femmes»

Pour incarner le rôle de cette mère solaire et aimante, Aure Atika a travaillé sur son sourire : «Je pense que les mamans que j’ai interprétées dans d’autres films étaient plus torturées ou plus en souffrance, moins accomplies en tout cas.», nous explique-t-elle. Pour la comédienne,  participer à «10 jours sans maman» c’était aussi prendre part à une production qui défend la cause des femmes. «Oui elle [le personnage d’Aure Atika] s’occupe des enfants mais avec le sourire parce qu’elle trouve aussi son bonheur là-dedans (…) Mais en même temps oui on est indispensables et oui on a le droit à autre chose».

Aure Atika et Franck Dubosc entourés par des jeunes talents du cinéma

Dans le rôle du papa débordé, Franck Dubosc a «aimé se moquer de lui-même». Il faut dire que l’acteur était bien accompagné, par les comédiens  Illan (9 ans), Violette (13 ans) et Swann (17 ans) dans le rôle de ses enfants. Inspiré par des scènes de la vie quotidienne qu’ils connaissent, les jeunes talents n’ont pas été coachés et avaient «déjà ce truc», confie Aure Atika. «On a chacun notre propre histoire qu’on met dans le scénario», «Forcément, il y a des similitudes et des différences, on vit chacun notre adolescence à notre propre manière, mais je pense qu’il y a forcément une part de vrai où chacun peut se retrouver dans nos personnages», expliquent-ils.