Alicia Keys : ses engagements humanitaires

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En plus d’être l’une des plus grandes voix RnB actuelle, Alicia Keys est une artiste engagée qui met sa notoriété au service des autres. Elle prend régulièrement la défense des plus démunis.

Alicia Keys s’engage dans la lutte contre le sida

C’est après un voyage humanitaire en Afrique, qu’Alicia Keys décide de se battre contre le sida. Elle devient la cofondatrice d’une organisation à but non-lucratif, KCA ou Keep a Child Alive, aux côtés de Leigh Blake. Son but est de venir en aide aux familles et enfants atteints du VIH en Afrique, mais aussi, en Inde. À leurs côtés opèrent des ambassadeurs célèbres, comme l’actrice américaine Taraji P. Henson, ou la chanteuse Janelle Monáe. Le 27 mai 2017, Alicia Keys a été récompensée pour son travail au sein de KCA, en recevant l’Ambassador of Conscience Award, décerné par Amnesty International.

Alicia Keys milite pour les droits des femmes

L’interprète de « No One » (2007), l’une de ses plus belles ballades au piano, se revendique comme étant une féministe. Elle a, notamment, participé à la Women’s March, le 21 janvier 2017, à Washington D.C., aux États-Unis, organisée suite à l’investiture du président américain Donald Trump. Aux côtés d’autres grandes artistes et d’inconnues, la chanteuse a livré un discours vibrant contre les violences et les inégalités que les femmes subissent à travers le monde, avant de chanter son morceau « Girl on Fire » (2012). La star a également décidé d’apparaître sans maquillage sur les tapis rouges, pour lutter contre les diktats de la beauté, imposés aux femmes.

Alicia Keys prône un monde meilleur

La chanteuse a cofondé une autre association, en 2014, We Are Here Movement. À travers elle, Alicia Keys invite les jeunes à se mobiliser pour que les choses changent et que le monde soit meilleur. Le 8 septembre 2014, sur son compte Facebook, la diva américaine a dévoilé un titre du même nom, « We Are Here », en message de paix, sur lequel elle évoque les différents conflits mondiaux, le virus Ebola, ou encore l’éducation et les lois sur les armes aux États-Unis. Voilà une nouvelle bonne raison d’aimer l’artiste.

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