« Les feux d’artifice » (2014) : son 6e opus studio
Calogero sort, le 18 août 2014, son 6e album, « Les feux d’artifice », qui contient 12 titres enregistrés à Londres et à Bruxelles. Il s’est entouré des meilleurs pour le composer, notamment de son frère Gioacchino et de sa compagne Marie Bastide, mais aussi d’Alex Beaupain, de Dominique A et de Christophe Cirillo. Rapidement, l’opus est certifié disque de diamant, avec 500 000 exemplaires vendus, et atteint la première place du top album en France.
« Les feux d’artifice » (2014) : un album très personnel
Calogero livre un disque plus mature et intime. Dans « Les feux d’artifice » (2014), il aborde sa vie de famille recomposée et, pour la première fois, donne son avis sur des questions de société. Avec « J’ai le droit aussi » de Marie Bastide, l’artiste parle d’homosexualité. Le morceau « Un jour au mauvais endroit » s’intéresse, lui, à la disparition tragique de deux adolescents à Echirolles, dans la banlieue de Grenoble – d’où est originaire Calogero –, en 2012. Une nouvelle fois, c’est Marie Bastide qui en signe les paroles. Pour le clip, Calogero est retourné dans la ville de son enfance.
Calogero enchaîne les succès
De cet album vont naître six singles, tous encensés par la critique. « Un jour au mauvais endroit », « Les feux d’artifice », « L’éclipse » et « Le portrait » paraissent en 2014, suivis par « Avant toi » et « J’ai le droit aussi » en 2015. « Avant toi » est l’une des plus belles chansons d’amour de Calogero, dans laquelle il déclare sa flamme avec poésie, grâce à la plume d’Alex Beaupain.
« Les feux d’artifice » (2014) : une chanson devenue hommage
Calogero voit son titre, « Les feux d’artifice » (2014), sélectionné par les familles des victimes de l’attentat survenu à Nice, le 14 juillet 2016. Afin de leur rendre hommage, le chanteur interprète sa chanson le 14 juillet 2017, à Nice, soit un an après le drame. Si cet air a été choisi, c’est pour la beauté de ses paroles. « On allait aux feux d’artifice – Voir ces étoiles de pas longtemps – Qui naissent, qui brillent et puis qui glissent – En retombant vers l’océan – Et ça fait des étoiles de mer – Ça met dans les yeux des enfants – Des constellations éphémères – Et on s’en souvient quand on est grand ». Submergé par l’émotion, Calogero ne pourra chanter le dernier couplet…