Et s’il fallait attendre 5 albums pour pouvoir raconter qui on est vraiment ? C’est un peu ce que l’on ressent à l’écoute d’Echos, le nouvel album d’Anggun.
S’il y a quelques années encore, Anggun évoquait l’exil comme une douleur (J’ai tourné la rose des vents vers tes plaines si fort que j’en saigne parfois), elle sait aujourd’hui où elle va parce qu’elle accepte son destin irrémédiablement lié au voyage (Le souvenir intact d’où tu viens, d’où tu pars).
S’il y a quelques années encore, Anggun évoquait l’exil comme une douleur (J’ai tourné la rose des vents vers tes plaines si fort que j’en saigne parfois), elle sait aujourd’hui où elle va parce qu’elle accepte son destin irrémédiablement lié au voyage (Le souvenir intact d’où tu viens, d’où tu pars).