Après plusieurs années de succès, Hélène Ségara a un peu plus de mal aujourd’hui à retrouver le sommet des charts. Malgré un accueil positif auprès du public, son dernier album Parmi la Foule a ainsi eu un succès mitigé.
"Il faudrait plus de moyens"
Et pour la chanteuse, sa maison de disques Universal ne serait pas étrangère à ces mauvais chiffres. "Ce disque n’a pas été suffisamment, travaillé par le label", explique ainsi Hélène Ségara dans une interview à Paris Match. "Il faudrait un deuxième clip, mettre des moyens… Une fois de plus, Universal est en restructuration, et j’en ai assez de vivre ça".
Pendant longtemps, Hélène Ségara a travaillé avec Orlando, dans une ambiance familiale. Et cet état d’esprit semble lui manquer aujourd’hui. "L’affectif, c’est important pour moi, mais ce n’est peut-être pas une bonne chose", lâche-t-elle.
Envie d'arrêter ?
Ces difficultés du monde de la musique pourraient bien en tout cas pousser la chanteuse à quitter la lumière plus vite que prévu. "C’est un métier où il faut se battre, ce n’est pas facile de durer", raconte Hélène Ségara. "Certains jours, je me demande sérieusement si je pourrais continuer ce métier. Ce n’est pas l’envie qui manque, mais je ne veux plus être une guerrière".
"Il faudrait plus de moyens"
Et pour la chanteuse, sa maison de disques Universal ne serait pas étrangère à ces mauvais chiffres. "Ce disque n’a pas été suffisamment, travaillé par le label", explique ainsi Hélène Ségara dans une interview à Paris Match. "Il faudrait un deuxième clip, mettre des moyens… Une fois de plus, Universal est en restructuration, et j’en ai assez de vivre ça".
Pendant longtemps, Hélène Ségara a travaillé avec Orlando, dans une ambiance familiale. Et cet état d’esprit semble lui manquer aujourd’hui. "L’affectif, c’est important pour moi, mais ce n’est peut-être pas une bonne chose", lâche-t-elle.
Envie d'arrêter ?
Ces difficultés du monde de la musique pourraient bien en tout cas pousser la chanteuse à quitter la lumière plus vite que prévu. "C’est un métier où il faut se battre, ce n’est pas facile de durer", raconte Hélène Ségara. "Certains jours, je me demande sérieusement si je pourrais continuer ce métier. Ce n’est pas l’envie qui manque, mais je ne veux plus être une guerrière".