Originaire d'Australie, le musicien pop Mark Boyce émerge sur la scène musicale internationale vers la fin des années 1980.
Notamment connu pour son tube solo « Hey little girl », il a participé à la réalisation de l'opus « Whiteout » de Boss Hog.
Débuts d'un claviériste-mannequin
Jeune homme au physique avantageux, Mark Boyce
débute sa carrière dans l'univers du show- business à travers le
mannequinat. Posant pour les photographes et défilant pour les grands
stylistes et couturiers, il développe petit à petit un rêve: celui de
devenir chanteur.
Un rêve qu'il est tout à fait capab le de
réaliser puisque le mannequin est également un grand pianiste et un
excellent claviériste. Il joue en effet, à n'importe quel type de
clavier, qu'il s'agit d'un vieux piano fort ou d'une orgue Hammond
spéciale.
Il s'illustre également dans tous les styles, des morceaux classiques comme les mélodies de Frédéric Chopin aux rythmes modernes du genre hip hop.
Fort de ses capacités musicales, le futur chanteur se jette dans le monde de la musique dans les années 1980.
« Hey little girl », le tube d'un jour
Avec quelques chansons à son actif, Mark Boyce publie son album « All over the world » à la fin des années 1980.
Parmi les pièces de l'opus, on retrouve le brillant morceau « Hey little girl
» qui fait un énorme carton. Frôlant le Top 5 du classement français,
le tube fait la une des ondes européennes et finit par remporter un
disque d'argent.
En 1991, il est repris par la chanteuse française Gwendoline sous le titre « C'est dans mon cœur ». Entre temps, l'Australien publie deux autres singles tirés de son recueil. La pièce au titre italien « Questa sera » connaît un assez vif succès tandis que le morceau moins retentissant « Classic story of love » passe inaperçu.
Après cet essai solo, le chanteur décide de se tourner vers d'autres projets.
De la carrière cinématographique à la production
Des années 1990 au dé but de s années 2000, Mark Boyce s'intéresse beaucoup plus au cinéma et à la télévision. Il apparaîtra alors dans des films comme « Zebrahead », « Suburbia » ou encore « Hollow man ».
Il figurera également dans des films documentaires du genre « Pola's march » ou dans des émissions télé telles que « The huntress ».
Sans pour autant abandonner la musique, le claviériste intègre différentes formations américaines dont le groupe de Cristina Martinez et Jon Spencer baptisé Boss Hog qui l'accueille en 2000. Il participe ainsi à la réalisation de l'album « Whiteout » de ce collectif pop rock qu'il accompagne dans ses tournées mondiales.
Plus tard, Mark Boyce
retourne dans son pays et se lance dans la carrière de producteur. En
2009, il reprend la plume et compose de nouveaux morceaux.