Les débuts dans la house et la musique électro
Né en 1980 à Dresde, capitale de la Saxe située de l’autre côté du Rhin, Tino Piontek, alias Purple Disco Machine, se découvre rapidement une passion pour la musique électro. Dès la sortie de l’adolescence, le jeune Allemand fait ses premiers pas dans la musique avec l’ambition de devenir l’un des plus grands DJ de la planète. Au début des années 2000, Tino Piontek enchaîne donc les propositions musicales avec une nette prédominance pour la musique électronique. En 2009, il lui vient l’envie de prendre un nouveau départ et de se lancer dans un tout nouveau projet. À la veille des années 2010, Tino Piontek adopte donc le pseudonyme de Purple Disco Machine et pose les premières pierres de sa nouvelle carrière.
Le projet Purple Disco Machine
Officiant désormais sous le nom de scène Purple Disco Machine, Tino Piontek prend la décision de s’orienter vers une musique plus house et disco qu’électronique. Il faut dire que l’Allemand apprécie particulièrement la musique des années 80 et le genre disco. Parmi ses sources d’inspiration, le DJ n’hésite pas à citer le groupe Miami Sound Machine porté par la voix de la chanteuse Gloria Estefan. D’ailleurs, son pseudonyme choisi pour faire carrière s’inspire du nom de ce groupe de musique (et du titre "Purple Rain" de Prince).
Le premier gros succès
Dans son nouveau style musical, Purple Disco Machine parvient en 2013 à livrer son premier gros succès commercial. Avec la sortie de "My House", Purple Disco Machine acquiert une certaine notoriété dans l’univers électro-house et dans le monde des DJ. Vendu à des centaines de milliers d’exemplaires dans le monde et classé dans le top 5 des plus gros succès du genre dans de nombreux pays à travers la planète, "My house" est LA chanson qui fait basculer la carrière de l’artiste allemand. Dans la foulée, Purple Disco Machine dévoile toute l’étendue de son talent de DJ avec la commercialisation d’autres singles comme "LOVE", "Set It Out" ou encore "Counting On Me".
Le premier album
Passé de DJ anonyme à véritable star de la house aux quatre coins du monde, Purple Disco Machine décide de commercialiser son premier album. En 2017 sort l’album "Soulmatic" avec la collaboration du label australien Sweat It Out Records. Pour ce projet, le DJ allemand s’entoure de nombreux interprètes parmi lesquels Kool Keith ou bien Duane Harden. Avec "Soulmatic", Purple Disco Machine répond également à ses envies de diversifier sa musique. À travers les différents titres de l’album, l’artiste dévoile ses penchants pour la disco, pour la funk, mais aussi pour la pop et le R’n’B. Porté par les titres "Devil In Me" et "Body Funk", le premier album de Purple Disco Machine rencontre un très vif succès. En quelques mois seulement, "Soulmatic" franchit la barre des 100 millions de flux combinés.
Un retour hypnotique
Trois ans après la sortie de son premier album et après s’être quelque peu éloigné des projecteurs, Purple Disco Machine fait son grand retour sur le devant de la scène musicale. En 2020, le DJ allemand dévoile la sortie de son single "Hypnotized", coup de cœur du club Chérie, une chanson enregistrée en collaboration avec le groupe de pop britannique Sophie and the Giants. Très vite, ce nouveau titre de Purple Disco Machine, inscrit dans un univers nu-disco, rencontre à son tour un énorme succès. Il n’en fallait pas tant pour promouvoir la préparation du deuxième album de Purple Disco Machine déjà soigneusement préparé avec la sortie de "In My Arms" (l’équivalent de 400 millions de streams mondiaux en quelques semaines seulement).
Un style positif
Il n’est pas toujours facile de définir les ingrédients du succès d’un artiste, DJ ou chanteur, plutôt qu’un autre. Dans l’univers électro-house ou nu-disco, la tâche se complique encore davantage avec la délicate mission de percevoir la signification des titres enregistrés pour faire danser les gens. Pour Purple Disco Machine, tout l’enjeu de sa carrière, tout son style, se résument à une ambition simple : transmettre des sentiments et des énergies positives à toutes celles et ceux qui ont envie de danser pour se sentir plus heureux. Celui qui, comme Diplo ou comme David Guetta (avec Sia entre autres), se dit prêt à collaborer avec d’autres grandes personnalités de la musique a donc sa part de responsabilité dans le bien-être de milliers de personnes à travers le monde. Pour l’heure, le DJ allemand continue d’enregistrer de nouveaux titres et de les faire découvrir aux quatre coins du globe. À l’instar de ses pairs, Purple Disco Machine alterne les enregistrements en studio et les performances en live. À Ibiza ou dans les festivals du monde entier, Purple Disco Machine fait aujourd’hui partie des têtes d’affiche.
Un nouveau single pour son prochain album
Lancé dans la réalisation et la promotion de son troisième album, Purple Disco Machine débute l’année 2021 avec la sortie du single "Fireworks". Enregistrée en collaboration avec Moss Kena & The Knocks, la chanson s’inscrit une nouvelle fois dans un univers très disco. Pour la petite histoire, "Fireworks" était dans les cartons du DJ allemand depuis très longtemps. Il manquait juste à Purple Disco Machine la rencontre avec Moss Kena & The Knocks pour la terminer.
Une année 2021 chargée pour Purple Disco Machine
Après la sortie de "Fireworks", Purple Disco Machine enchaîne avec deux nouveaux singles en 2021 : "Playbox" et "Dopamine". Ce dernier titre lui permet de concrétiser sa collaboration avec la chanteuse Eyelar. On lui doit également de nombreux remixes, comme "Let the Sun Shine" de Milk & Sugar, "Don’t You Want Me" de The Human League, sans oublier "Menergy" de Patrick Cowley. En octobre 2021, Purple Disco Machine sort son deuxième album studio, intitulé "Exotica".