Depuis le premier single « Don’t Cha », les Pussycat Dolls enchainent les tubes :
« Wait a minute », « Beep » ou encore « When I grow up ».
Pour gagner cette notoriété, les filles ont su s’entourer.Busta Rhymes , Snoop Dogg et Will.I.Am collaborent sur des titres. Côté production, on retrouve Pharrell WillIAMs, Lady GaGa ou encore le grand Timbaland .
En 2009, la tournée mondiale démarre aux Etats-Unis puis passe par l’Asie, l?? Europe et l’Australie.
Apparitions remarquées pour le groupe
En 95, les filles montent pour la première fois sur scène dans un club de Los Angeles. Au fil des années, elles font des apparitions remarquées auprès de plusieurs stars : Britney Spears ... pour l'anniversAIRe de son frère... mais aussi Pink dans son clip «Trouble » et même auprès de Gwen Stefani .
Timbaland , empereur de la production
C'est fin 2003 que le projet va devenir musical, avec l'arrivée de Nicole Kea, gagnante de la version américaine de l'émission « Pop Stars ».
En avril 2005, les Pussycat Dolls sortent le fameux single « Don't Cha », auquel participe le plus « fondu » des rappeurs américains, Busta Rhymes . Un charme dévastateur puisque ce single va rapidement monter dans les charts, et notamment en France.
Et c'est le 13 septembre 2005 que sort enfin leur premier album, « PCD », produit par l'empereur de la production rap/R&BTimbaland . Les filles ont sorti depuis plusieurs singles à succès extraits de cet album comme « Buttons », « Wait a minute » ou « Beep ».
Le groupe s'offre ensuite une petite pause, le temps pour Nicole SCherzinger de commencer une carrière solo avec « Her name is Nicole » en 2007.
Le retour des Pussycat
LesPussycat Dolls sont de retour en 2008 avec un nouvel album intitulé « Doll Domination ». A la production on retrouve une prestigieuse équipe composée de Pharrell Williams, Darkchild, Rodney Jerkins, Timbaland et bien d'autres. Le premier single s'intitule « When I grow up » et il raconte leurs rêves de gloire et de célébrité quand elles étaient encore des fillettes... des rêves sacrément prémonitoires.
Les titres suivants sont notamment : « I hate this part », « Bottle Pop » ou encore « Jai ho ».