Musicien et producteur, c’est en devenant choriste pour Lionel Richie que Richard Marx s’est fait connaître. Encensé dès ses débuts par la presse, il remporte en 2004 le Grammy de la meilleure Chanson pour « Dance with my father ».
« Don’t mean nothing »
Né à Chicago aux Etats-Unis, Richard Marx commence à chanter pour des spots publicitaires à l’âge de cinq ans. Sa voix est remarquée par Lionel Richie qui lui propose de devenir son choriste.
Son premier album éponyme sort en 1987, lancé par le single « Don’t mean nothing ». Il est consacré par la ballade « Right here waiting » qui est encensée par la presse. Il devient le seul artiste masculin à avoir sept singles classés dans le top cinq du Billboard !
Un producteur de talent
En 1989, Richard Marx retourne en studio pour travailler sur de nouvelles compositions. Il sort son deuxième album « Repeat offender », suivi de « Rush street », à la fin des années 1990.
Par ailleurs, il commence à produite des artistes prestigieux, de Barbra Streisand à Josh Groban, et à mettre ses talents d’auteur au service de nombreux interprètes dont Natalie Cole.
D’habitude encensé par la critique, Richard Marx subit une plus mauvaise presse pour la sortie de son quatrième album, « Paid vacation » en 1994.
Le chanteur connaît alors un passage à vide avant de revenir en 1997 avec « Flesh and bone », suivi de « Days in Avalon » en 1999.
Un Grammy
En février 2004, Richard Marx remporte le Grammy de la meilleure Chanson pour « Dance with my father », co-signé avec Luther Vandross. La même année sort son nouvel album « My own best enemy », qui contient des titres tels que « When you’re gone » ou « Ready to fly ».
Il poursuit son retour sur scène un an plus tard avec le morceau « Better life », en duo avec Keith Urban, d’ailleurs sur l’album de ce dernier « Be here now ». Le titre reste six semaines consécutives numéro 1 du classement country du Billboard !