"Il est cinq heures, Paris s’éveille"
Peu d’artistes français ont autant que Zaz pris part à l’exercice de l’album de reprises, en plein boom depuis quelques années. La chanteuse a notamment participé à celui rendu à Jacques Dutronc sur "Génération(s) Dutronc" en reprenant l’un de ses classiques, "Il est cinq heures Paris s’éveille". Une manière pour elle de saluer son admiration pour l’une des Vieilles Canailles, mais aussi de renvoyer l’ascenseur à son fils, Thomas Dutronc, avec laquelle elle a collaboré en 2014 sur "La Romance de Paris".
"Les Champs-Élysées"
Autre géant de la chanson à avoir eu droit à son petit hommage : Joe Dassin. Et lorsque celle qui perpétue la tradition de la gouaille du titi parisien décide de consacrer son troisième album à des reprises de chansons en lien avec Paris, comment aurait-elle pu faire l’impasse sur "Les Champs-Élysées" ? Impossible !
"Tous les Cris les SOS"
Autre génération, autre album-hommage collectif. Fin 2015, c’est au tour de Daniel Balavoine d’y avoir droit avec "Balavoine(s)". Tout comme Nolwenn Leroy, Florent Pagny ou Jenifer, Zaz est de la partie et s’attaque à l’une des plus grandes prouesses vocales du chanteur, "Tous les Cris les SOS". L’album atteint la deuxième place des ventes et le single de Zaz se hisse jusqu’en seizième position des charts, l’une de ses meilleures performances.
"Pas l’indifférence"
Entre Zaz et Jean-Jacques Goldman, l’histoire ne se limite pas à une simple question d’admiration. Certes, la chanteuse a également pris part à l’album "Génération Goldman" en 2012, l’un des premiers à avoir lancé la mode du genre. Mais celui qui reste l’un des chanteurs préférés des Français lui a rendu depuis la pareille en lui écrivant la ballade "Si" sur le deuxième album de la chanteuse, "Recto Verso", l’année suivante.