On l’avait laissé sur le succès de « Mesdames » sorti en 2020. Après un intermède en trio avec Ben Mazué et Gaël Faye pour « Ephémère », Grand Corps Malade nous revient avec un huitième album original intitulé « Reflets », qui offre autant de miroirs sur l’artiste, l’amour, le temps qui passe et la société. La plume du slameur est toujours précise et poétique, les mélodies impeccables, notamment écrites avec Mosimann. Toujours actif - il vient de réaliser un biopic sur Charles Aznavour qui sortira l’an prochain -, Grand Corps Malade présente avec « Reflets » un album plus personnel.
Des débuts à « 2083 »
L’artiste revient sur près de 20 ans de carrière dans « J’ai vu de la lumière ». « Le slam faisait ses premiers pas dans quelques bars populaires… », se remémore le chanteur qui dédicace la piste éponyme de l’album « Reflets » à son public. Le désormais père de famille cède également à une douce nostalgie en évoquant ses enfants dans « Retiens les rêves » avant d’aborder la reconstruction après les épreuves, la rencontre avec sa femme dans le titre « Deauville » ou bien encore la prise de conscience écologique dans « 2083 », comme il nous l’explique dans l’interview qu’il a accordée à Chérie FM.
L’année qui s’annonce sera encore dense pour l’artiste originaire de Seine-Saint-Denis avec notamment une tournée des Zénith d’ores et déjà annoncée.
On ajoute un 3ème Zénith de Paris !
— Grand Corps Malade (@grandcorpsmalad) October 4, 2023
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